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Autre Rive
V.O.
Zarzecze
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Langue(s)
Langue commune
Démographie
Gentilé
Autrerivois(e)

Autre Rive la Haute, qu'on appelait aussi Rive Gauche, une contrée sauvage et pratiquement déserte entre la Iaruga et une région nommée les Versants, située au pied des montagnes d'Amell, limitée à l'est par la vallée de Dol Angra[1] et à l'ouest par des zones lacustres marécageuse d'Ysgith.

Villes et villages[]

Histoire[]

Personne n'ayant jamais revendiqué de grands projets pour ladite contrée, on n'a jamais vraiment su à qui ce pays appartenait véritablement et qui le dirigeait. Il semblerait qu'à cet égard les souverains successifs de la Temeria, de Sodden, de Cintra et de la Rivia eurent leur mot à dire, traitant avec plus ou moins de succès Rive Gauche comme un fief de leur propre couronne et tentant parfois de faire valoir leurs droits par le feu et le fer. Mais plus tard, de derrière les montagnes d'Amell arrivèrent les armées de Nilfgaard, et plus personne n'eut à dire quoi que ce soit Aucun doute ne fut plus permis quant aux droits féodaux ou fonciers: tout ce qui s'étendait au sud de la Iaruga appartenait à l'Empire. L'histoire de ce territoire a été façonnée presque fortuitement, pour ainsi dire, au gré des conflits opposant les forces internes. Par trop souvent, ce sont les allogènes d'un pays qui créent son histoire. C'est pourquoi les allogènes en sont à l'origine, alors que les autochtones en subissent invariablement les conséquences. Autre Rive en est un parfait exemple.[1]

Autre Rive avait ses propres habitants autrefois, des Autrerivois d'origine. Mais, usés par une série d'escarmouches et de batailles qui durèrent des années, ils furent contraints de migrer. Les bourgs et les villages furent réduits en cendres, la forêt vierge envahit les hameaux en ruine et les champs en friche. Le commerce périclita, les caravanes marchandes évitèrent ses routes et ses sentiers non entretenus. Les quelques Autrerivois qui restèrent se muèrent en rustres sauvages. Ils se distinguaient essentiellement des ours et des gloutons par le fait qu'ils portaient des pantalons. Du moins..., certains d'entre eux. En substance, ils étaient devenus un peuple dur, primitif et grossier. Et totalement dénué d'humour.[1]

Sous la plume de Sapkowski[]

Notes et références[]

Notes[]

Références[]

  1. 1,0 1,1 et 1,2 La Tour de l'Hirondelle, Chapitre 3.