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Esteril Thyssen est le fils d'Alicja Trojdenidka et Edmund Thyssen, margrave de la Marche de l'Est. Il épousa Agnès d'Aedirn qui lui donna un fils, Baldwin Thyssen et deux filles, Marion Thyssen et Eudoxia Thyssen[1]

Histoire[]

Jeunesse et accession au trône[]

Esteril Thyssen est le fils d'Edmund Thyssen, margrave de la Marche de l'Est, et de la princesse Alicja Trojdenidka, sœur du roi Gerard. Il épousa la princesse Agnès d'Aedirn, fille du roi Videmont d'Aedirn. Leur histoire est digne d'un conte de fées. Quand le couple se rencontra pour la première fois, sur la route vers Ard Carraigh, Esteril n'était que comte, le fils d'un simple margrave et était donc considéré comme indigne pour courtiser la princesse, le fait qu'il avait du sang royal par sa mère n'y changeait rien. Videmont était tout à fait conscient que l'homme qui épouserait sa fille hériterait du trône. Quand Esteril proposa le mariage à Videmont, ce dernier refusa logiquement. Le fier margrave de Kovir, n'ayant pas l'intention de s'exposer à la honte, il fut interdit à Esteril de ne serait-ce que regarder la princesse.[1]

Le couple feignit de s'y soumettre mais ne renonça pas. Esteril se présenta à la cour Aedirnienne de Vengerberg en se faisant passer pour un ami du fils du roi de Kovir et y fut bien accueilli. Videmont n'ayant jamais rencontré le garçon, il ne soupçonna pas la supercherie. Une nuit, Agnès et Esteril prirent la fuite à cheval. La légende raconte qu'afin d'éviter la colère de leurs pères, il décidèrent de se réfugier à Kaer Morhen, la forteresse des sorceleurs même si cela semble peu probable. Néanmoins, un an après leur fuite, Benda, le roi de Kaedwen, informa Videmont et Edmund qu'ils étaient maintenant grand-pères. Un petit-fils, dit Benda, du sang de Thyssen portant le nom de Baldwin en l'honneur de son arrière grand-père, le célèbre roi d'Aedirn.[1]

Règne[]

Videmont se senti humilié et fut de mauvaise humeur quelques temps. Après la mort du roi Gerard, Esteril fut élevé à la dignité royale de Kovir et Poviss, un rang digne de la princesse, même si l'union était déjà consommée. Il dota grassement son petit-fils et plus tard ses arrières petits-enfants.[1]

Notes et références[]

Notes[]


Références[]