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Ida Emean aep Sivney est une magicienne, une Aen Seidhe libre des monts Bleus et une Aén Saevherne. Elle est également une membre de la Loge des Magiciennes.

Apparence et caractère[]

Ida Emean aep Sivney a les cheveux roux-vermillon et des yeux perçants, le vif maquillage qui habillait son regard faisait paraitre ses yeux plus grands. Elle porte une robe vaporeuse couleur jonquille et parmi ses bijoux, il n'y a pas la moindre pépite, ni une seul pierre précieuse; uniquement des perles, des coraux et de l'ambre.[1]

Ida Emean aep Sivney dans la Saga[]

Dans Le Baptême du Feu[]

Dans La Dame du Lac[]

Sous la plume de Sapkowski[]

Ida Emean aep Sivney, une elfe magicienne, une Aen Seidhe libre des monts Bleus qui, durant l’audience, était restée cachée sous un voile d’invisibilité, se matérialisa dans un coin de la bibliothèque ; elle arrangea sa robe et ses cheveux roux-vermillon. Pour toute réaction les ocelots ouvrirent un peu plus les yeux. Comme tous les félins, ils voyaient l’invisible, on ne pouvait pas les tromper avec un sortilège aussi simple.
Le Baptême du Feu, Chapitre 6.


Ida Emean inclina légèrement la tête en faisant bruisser sa robe vaporeuse couleur jonquille.[...]
Ida Emean, la rousse aux grands yeux, suscita indubitablement l’intérêt de toutes, y compris celui des deux magiciennes de Nilfgaard. Les elfes libres des monts Bleus n’entretenaient aucune relation avec les humains, mais ils n’en entretenaient pas non plus avec leur proche parenté vivant à proximité. Et un petit nombre d’elfes libres d’Aen Saevherne, les Érudits, constituaient une énigme frisant la légende. Même parmi les elfes, peu nombreux étaient ceux qui pouvaient se vanter d’avoir approché une Aen Saevherne. Dans le groupe, Ida ne se distinguait pas seulement par la couleur de ses cheveux. Parmi les bijoux qu’elle portait, il n’y avait pas la moindre pépite, ni une seule pierre précieuse ; uniquement des perles, des coraux et de l’ambre.

Le Baptême du Feu, Chapitre 6.


Ida Emean, pour sa part, était parée de mousselines et de tulles aux teintes automnales, si délicats et si vaporeux qu’ils se mouvaient et ondoyaient comme des anémones au moindre courant d’air.
La Dame du Lac, Chapitre 4.


Apparitions[]

Notes et références[]

Notes[]


Références[]

  1. Le Baptême du Feu, Chapitre 6.