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Leticia Charbonneau était la fille de Carezza Charbonneau et Gardic, roi de Temeria. Elle était une magicienne et la rectrice de l'académie d'Aretuza.[1]

Durant le règne de Goidemar de Temeria, le roi fit venir des magiciens pour qu’ils examinent les Triplets d'Houtborg et établissent l’identité de chacun. Goidemar était tellement furieux qu’il était prêt à exécuter le bâtard de Falka en place publique dès qu’ils l’auraient découvert. Leticia et les autres magiciens ne pouvaient permettre l'exécution d'un enfant âgé de deux ans à peine. Déjà qu'après la répression de la Rébellion de Falka, les rebelles arrêtés avaient été soumis à des atrocités inénarrables, il convenait d’y mettre enfin un terme. Après la découverte de la bâtarde, Adela, le groupe de magiciens, qui comprenait Tissaia de Vries, Augusta Wagner, Hen Gedymdeith et Francesca Findabair, feintent l'ignorance pour éviter l'exécution de la bâtarde. Ils expliquèrent au roi que l’affaire était compliquée, qu'ils poursuivaient leurs recherches, mais que cela nécessiterait du temps... beaucoup de temps. Goidemar, au fond, était un homme bon et noble, il recouvra vite son sang-froid et ne les pressa pas ; quant aux trois enfants, Amavet, Fiona et Adela, ils grandissaient et gambadaient dans le palais, faisant la joie du couple royal et de la cour.[2]

Sous la plume de Sapkowski[]

— Sans aucun doute. C’est d’ailleurs une allégorie. Je l’appellerais l’allégorie de la Féminité triomphante. L’Air, l’Eau, la Terre et le Feu. Et quatre célèbres magiciennes, maîtresses dans le maniement des forces de ces éléments : Agnès de Glanville, Aurora Henson, Nina Fioravanti et Klara Larissa de Winter. Regarde la toile suivante, très réussie. Là aussi, tu vois Klara Larissa : elle procède à l’inauguration de l’école pour jeunes filles. Le bâtiment où nous nous trouvons justement. Et ces portraits, ce sont ceux des anciennes élèves, devenues célèbres, d’Aretuza. C’est la longue histoire de la Féminité triomphante et de la progressive féminisation de la profession : Yanna de Murivel, Nora Wagner, sa sœur Augusta, Jade Glevissig, Leticia Charbonneau, Ilona Laux-Antille, Caria Demetia Crest, Violenta Suarez, April Wenhaver… Et la seule encore en vie : Tissaia de Vries…
Le Temps du Mépris, Chapitre 3.


Notes et références[]

Notes[]


Références[]