Sorceleur Wiki

Lorenzo Molla est un membre d'une Compagnie libre de condottieres lors de la Seconde Guerre nordique.

Apparence et caractère[]

Lorenzo Molla dans la Saga[]

Dans La Tour de l'Hirondelle[]

Esterad Thyssen gracie plus de trois mille condamnés et exilés pour former une armée combattant le Nilfgaard pour les Royaumes du Nord. Il ne s’agissait pas uniquement de bandits, de simples criminels ou de condottieres mercenaires. La grâce concernait avant tout des dissidents. Parmi les graciés se trouvaient des fidèles du roi Rhyd, qui avait été renversé, et des hommes de l’usurpateur Idi. Ces fervents opposants au pouvoir en place ne comptaient pas que de simples discoureurs; la plupart étaient en prison pour diversion, attentats, mutinerie armée. Dont Lorenzo Molla.[1]

Dans La Dame du Lac[]


Toutes les cloches de Novigrad carillonnaient, leur écho profond et plaintif se répercutait sur les toitures et les mansardes des maisons marchandes, résonnant au milieu des ruelles. Les fusées et les feux d’artifice volaient haut dans le ciel. La foule hurlait, poussait des vivats, lançait des fleurs, faisait s’envoler des chapeaux, agitait des foulards, des écharpes, des drapeaux, et tiens ! des pantalons, même ! Lorenzo Molla salua la foule, soufflant délicatement dans la paume de sa main pour leur envoyer un baiser.[2]

Ils avançaient au pas dans la rue principale de la ville : Julia, Adam « Adieu » Pangratt et Lorenzo Molla, en habits de fête, chevauchaient en tête de la Compagnie libre. Les condottieres, en rangs par quatre, étaient si parfaitement alignés qu’aucun de leurs chevaux ne dépassait ne serait-ce que d’un pouce du rang, leur robe brillait tant elle avait été peignée et brossée. Tout comme leurs cavaliers, ils étaient calmes et fiers, pas le moins du monde effarouchés par les vivats et les hurlements de la foule, secouant à peine la tête quand on leur lançait des couronnes de fleurs.[2]


Sous la plume de Sapkowski[]

»Tels sont les mots exacts qu’il a employés. Ce que personne ne pouvait savoir à l’époque, c’est que ces « chats polissons » allaient devenir nos futurs héros, couverts de gloire et d’honneur. Les «chats» de mon grand-père furent plus tard de célèbres condottieres: Adam «Adieu» Pangratt, Lorenzo Molla, Juan «Frontino» Guttierez... Et Julia Abatemarco, qui fut connue en Rédanie sous le nom de « Doux Etourneau»... Vous, les jeunes, vous ne les connaissez pas, mais, de mon temps, quand on jouait à la guerre, chaque gamin voulait être «Adieu » Pangratt, et chaque fillette, Julia « Doux Etourneau »... Et dire que, pour mon grand-père, c’étaient des chats polissons!
La Tour de l'Hirondelle, Chapitre 8.


— La Compagnie libre, répéta le lansquenet. Regardez bien, bande de culs-terreux et de blancs-becs, à quoi ressemblent de véritables soldats. Eux ont déjà connu le combat ; ce sont eux, les condottieres, qui constituent l’escorte à cheval d’Adam Pangratt, de Molla, de Frontino et d’Abatemarco ; ce sont eux qui, à Mayen, ont fait la différence ; c’est grâce à eux que l’anneau nilfgaardien a été rompu ; si la forteresse a été libérée, c’est à eux qu’on le doit.
La Dame du Lac, Chapitre 6.


Apparitions[]

Notes et références[]

Notes[]


Références[]

  1. La Tour de l'Hirondelle, Chapitre 8.
  2. 2,0 et 2,1 La Dame du Lac, Chapitre 10.