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Riordain était une des têtes dirigeantes des Scoia'tael et finalement un officier nilfgaardien de la Brigade « Vrihedd ».

Apparence et caractère[]

Riordain dans la Saga[]

Dans Le Baptême du Feu[]

Riordain passe au fil de l’épée les huissiers du roi qui circulaient chargés de tout l’impôt récolté.[1].

Dans La Dame du Lac[]

Il était l'un des trente-deux officiers qui, en l'occurrence du Traité de Cintra, imposé à l’empereur l’obligation de rendre aux Nordlings les criminels de guerre… C’est-à-dire les officiers accusés de terrorisme, de meurtres sur des populations civiles, d’assassinats et de torture sur des prisonniers, de massacre dans des hôpitaux de campagne… À Dillingen, aucun des elfes, n’ajoutaient foi aux déclarations selon lesquelles ils bénéficieraient d’un procès équitable et d’une amnistie. Les Scoia’tael et les officiers de la brigade Vrihedd ne se faisaient aucune illusion quant au sort qui leur serait réservé au-delà de la Iaruga. La plupart s’en étaient accommodés sans se plaindre, acceptant leur sort avec résignation. Rien, selon eux, ne pouvait plus les surprendre. Ils se trompaient. On les poussa hors de la galère, leurs entraves cliquetaient et sonnaient ; on les bouscula sur la jetée, puis sur le quai, entre deux haies de soudards armés. Il y avait aussi des civils, de ceux dont les yeux vifs ne cessaient de clignoter, passant d’un visage à l’autre, d’une silhouette à une autre. C'était des sélectionneurs. Ils identifièrent Isengrim Faoiltiarna, Angus Bri Cri et Riordain.[2].

On ne les emmena pas bien loin. Ils marchèrent seulement jusqu’au deuxième bâtiment près du quai. Tout près du bassin portuaire sur lequel se balançait une forêt de mâts. Le civil donna le signal. Faoiltiarna fut poussé contre un poteau, un piquet sur lequel était jetée une longe. Ils commencèrent par attacher un crochet en fer à la longe. Riordain et Angus furent assis de force sur deux tabourets posés sur le sol. On leurs annonça qu'ils avaient bénéficiés d’une amnistie et que le tribunal avait décidé de leur faire grâce mais les familles de ceux qu'il avait assassinés réclamèrent vengeance. Riordain et Angus n’eurent pas même le temps de pousser un cri. On leur passa une corde autour du cou, par-derrière, avant de les faire tomber de leur tabouret et de les traîner sur le sol. Lorsqu’ils tentèrent en vain d’arracher de leurs mains entravées le licou qui pénétrait leur chair, leurs bourreaux s’agenouillèrent sur leur poitrine. Les couteaux étincelèrent brièvement et s’abattirent, du sang jaillit. À présent, même la corde n’était plus en état d’étouffer leurs cris qui faisaient se dresser les cheveux sur la tête. Cela dura longtemps. Comme toujours.[2]

Apparitions[]

Notes et références[]

Notes[]


Références[]

  1. Le Baptême du Feu, Chapitre 2.
  2. 2,0 et 2,1 La Dame du Lac, Chapitre 10.