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Verden est un protectorat nilfgaardien.

Repères[]


Sous la plume de Sapkowski[]

— D’ici quelques jours, les Nilfgaardiens atteindront notre frontière orientale, soit un débouché sur la colline du Pontar, poursuivit le roi Foltest, toujours à voix basse. Hagge, la dernière forteresse d’Aedirn, ne tiendra pas longtemps, et elle constitue elle aussi notre frontière orientale. Quant à notre frontière sud… Une chose terrible s’est produite. Le roi Ervyll de Verden s’est déclaré feudataire de l’empereur Emhyr. Il s’est soumis et a ouvert le fort à l’embouchure de la Iaruga. Nastrog, Rozrog et Bodrog, qui devaient garder notre aile, sont déjà remplies de garnisons nilfgaardiennes.
Le conseil ne pipait mot.
— En se soumettant, poursuivit Foltest, Ervyll a gardé son titre de roi, mais son suzerain est Emhyr. Officiellement, Verden est donc encore un royaume, mais, en pratique, c’est déjà une province de Nilfgaard.

Le Temps du Mépris, Chapitre 5.


— Nous verrons. J’ai dit que nous devions passer par Verden.
— Et c’est encore loin ? Tu connais cette région ?
— Oui. Non loin d’ici se trouve la cascade Ceann Treise. Ces terres que tu vois, là, devant nous, on les appelle « la Septième Lieue ». Ces petites montagnes derrière la rivière, ce sont les collines de la Chouette. Nous, nous irons vers le sud en suivant le cours de la rivière. Le Ruban tourne vers l’ouest, nous, nous passerons par les bois. Je veux atteindre un endroit qui s’appelle Drieschot, c’est-à-dire le Triangle. C’est là que se croisent les frontières de Verden, de Brugge et de Brokilone.

Le Baptême du Feu, Chapitre 2.


— Ceux à cheval, c’est la cavalerie régulière de Verden, expliqua Milva, restée jusqu’à présent maussade et étonnamment taciturne. Ils ont des damiers brodés sur leurs jaquettes.
Le Baptême du Feu, Chapitre 2.


[...]Qualifier de “maladroite” la manière dont le duc de Wett dirigea le groupe opérationnel “Verden” serait un doux euphémisme. Ses adversaires étant deux fois moins nombreux, il retarda l’offensive au nord et concentra toutes ses troupes sur la bataille avec les guérilleros verdenois. Le groupe “Verden” se livra envers la population à des horreurs indescriptibles. Les conséquences étaient aisément prévisibles et inévitables : si en hiver les forces insurrectionnelles comptaient un peu moins de cinq cents hommes, au printemps le pays tout entier ou presque se souleva. Le roi Ervyll, dévoué à l’Empire, fut éliminé. Son propre fils, le prince Kistrin, sympathisant des Nordlings, se retrouva à la tête du soulèvement.[...]
La Dame du Lac, Chapitre 5.


Notes et références[]

Notes[]


Références[]