Sorceleur Wiki

Agloval est le duc de Bremervoord. Il épousa Sh'eenaz.

Apparence et caractère[]

Agloval dans la Saga[]

Dans Une once d'abnégation[]

Il tomba désespérément amoureux d'une sirène, Sh'eenaz. Il y a un obstacle plutôt évident dans cette histoire d'amour et le duc embaucha Geralt de Riv pour le surmonter. Lorsque le sorceleur ne parvint pas à convaincre la sirène à renoncer à sa vie dans l'océan pour rejoindre Agloval sur terre, le duc l'embaucha de nouveau, mais cette fois pour enquêter sur la mort mystérieuse de plusieurs pêcheurs de perles locales.

Cela conduit à la découverte d'une mystérieuse race d'habitants sous-marins. Une guerre fut évitée de justesse entre les gens de la mer et leurs homologues terrestres et Sh'eenaz décida finalement de renoncer à sa queue pour rejoindre son amant dans le mariage.


Sous la plume de Sapkowski[]

— Que le diable emporte ce métier ! l’interrompit-il nerveusement en se plaçant de profil. (Profil des plus royaux en ce qu’il eût mérité de figurer sur une monnaie bien battue.) J’aurais mieux fait de ne pas avoir recours à tes services.[...]
— « Une once d'abnégation », dans la collection L'Épée de la Providence.


— Oui, Agloval, continua Essi, tu prends du plaisir à rabaisser tes semblables ; tu aimes à mépriser quelqu’un comme le sorceleur qui s’est dit prêt à perdre la vie pour ton argent. Mais tu dois savoir que le sorceleur se moque bien de ton mépris et de tes insultes ; que celles-ci ne l’impressionnent pas du tout ; qu’il ne les prend même pas en considération. Le sorceleur ne ressent même pas ce que tes serviteurs et sujets, Zelest et Drouhard, doivent ressentir : la honte profonde qui les ronge. Le sorceleur ne ressent pas ce que nous, Jaskier et moi-même, ressentons à ta vue : le dégoût. Sais-tu, Agloval, pourquoi il en est ainsi ? Je vais te le dire : parce que le sorceleur sait qu’il est meilleur que toi, qu’il te vaut mille fois. C’est cela qui lui donne cette force.
— « Une once d'abnégation », dans la collection L'Épée de la Providence.


— Non, demoiselle Daven, répondit froidement Agloval. Je n’ai pas compris. Bien au contraire même, je comprends même de moins en moins. La première chose que je ne comprends pas, c’est pourquoi je n’ai pas encore ordonné qu’on vous pende haut et court tous les trois, après bien sûr qu’on vous eut bastonnés et marqués au fer rouge. Vous, demoiselle Daven, vous essayez de nous faire croire que vous savez tout, mais dites-moi donc alors pourquoi je vous épargne ?
— Mais oui, tout de suite, répondit du tac au tac la poétesse. C’est parce qu’au fond de toi, Agloval, dans ton cœur, subsiste une étincelle de dignité, un reste d’honneur que ton orgueil de nouveau riche et de mécréant n’a pas encore étouffé. Au fond de toi, Agloval : au plus profond de ton cœur capable encore d’aimer une sirène.

— « Une once d'abnégation », dans la collection L'Épée de la Providence.


Apparitions[]

Notes et références[]

Notes[]


Références[]