Sorceleur Wiki
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Tiziana Frevi est une dwimveandre.

Apparence et caractère

La beauté des magiciennes était arrangée, le prestige de la profession l’exigeait, il fallait que la magicienne suscite l’admiration. Mais l’embellissement n’était jamais parfait, il restait toujours quelque chose. Tiziana Frevi ne faisait pas exception. Juste sous la racine des cheveux, son front portait quelques traces à peine perceptibles de petite vérole, contractée sans doute dans son enfance, quand elle n’était pas encore immunisée. Le tracé de sa jolie bouche était un peu gâché par une petite cicatrice ondulée au-dessus de la lèvre supérieure. [1].

Tiziana Frevi dans la Saga

Dans La Saison des orages

Tiziana Frevi rencontra Yennefer par hasard, chez la maîtresse chez qui elle terminait sa pratique à Novigrad. Lorsque Yennefer apprit qu'elle se rendait vers le sud, et une fois que sa maîtresse se fut portée garante d'elle, Yennefer lui confia une mission: remettre à Geralt les épées furtivement et en cachette, et ensuite disparaître. Puis Yennefer lui donna une lettre de recommandation pour une magicienne connue de Maribor chez qui elle comptait dorénavant pratiquer.[1]

Après avoir remis les épées à Geralt à l’Auberge du Sanglier et du Cerf qui évita par la même occasion un massacre, elle se présenta et lui avoua sa mission, pour la remercié il lui offrit un diner. Dans la soirée, Geralt l'a rejoignit dans sa chambre où apparemment il était déjà attendu. Plus tard, Tiziana l’endormi par magie puis sorti avant l’aube, alors qu’il faisait encore nuit. A son réveil, Geralt trouva sur la petite table, une fleur était posée sur ses épées. Une rose blanche. L’une de celles qui poussaient dans les pots installés devant l’auberge.[1]


Sous la plume de Sapkowski

À la table d’en face, sous une gueule de sanglier empaillée, soupait un couple : une jeune fille blonde et un homme plus âgé. La jeune fille était richement vêtue, de manière très sévère, pas du tout comme une jeune fille. L’homme avait l’air d’un fonctionnaire, et pas des plus gradés pour le moins. Le couple soupait ensemble et menait une conversation assez animée. Il s’agissait cependant d’une connaissance récente et due plutôt au hasard, comme le laissait à penser le comportement du fonctionnaire qui, à l’évidence, espérait quelque chose de plus : il se montrait obstinément empressé, ce que la jeune fille acceptait avec une réserve aimable, bien qu’ouvertement ironique.
La Saison des Orages, Chapitre 20.


Apparitions

Notes et références

Notes


Références

  1. 1,0 1,1 et 1,2 La Saison des orages, Chapitre 20.