Sorceleur Wiki

Sub-Pages:

Les Trolls sont l'une des races du Continent.

Sous-espèces[]

  • Troll des montagnes

Sous la plume de Sapkowski[]

— Je vais te donner quelques exemples, finit-il par dire. Ils datent des deux derniers mois que j’ai passés sur cette rive de la Buina. Un jour, j’approche d’un pont et là, qu’est-ce que je vois ? Un troll installé à l’entrée du pont, qui exige une redevance de chaque personne qui veut traverser. À celles qui refusent, il fait un croche-pied, parfois un double croche-pied. Je vais donc trouver le maire du village. “Combien me donnerez-vous pour ce troll ?” je lui demande. Le maire en reste la bouche ouverte. “Comment ça ? me dit-il. Et qui est-ce qui réparera le pont si le troll n’est plus là ? Le troll s’occupe du pont, il le répare régulièrement, à la sueur de son front, consciencieusement, bien comme il faut. Il revient donc moins cher de lui payer un péage.”
— « La voix de la raison 5 », dans la collection Le Dernier Vœu.


[...]Mais ces temps sont révolus, Geralt, ils sont irrémédiablement révolus. Le baron ne laisse pas tuer son diploure géant parce que c’est sans doute le dernier draconide dans un rayon de mille milles, et qu’il ne sème plus la terreur, mais fait naître la compassion et la nostalgie du passé. Le troll du pont est devenu l’ami des hommes, ce n’est plus un monstre dont on se sert pour faire peur aux enfants, c’est une relique et une attraction locale, utile de surcroît. Et les chimères, les manticores, les amphisbènes ? Ils sont dans des forêts vierges ou des montagnes inaccessibles…
— « La voix de la raison 5 », dans la collection Le Dernier Vœu.


— Comment expliquer la présence d’un tel pont dans cette contrée sauvage ?
— Les trolls, expliqua Kozojed, ont construit ce pont dans les temps anciens pour y installer un péage. Quiconque voulait traverser devait payer une forte somme. Mais rares étaient les intéressés, et les trolls ont plié bagages. Le pont est resté.

— « Les limites du possible », dans la collection L'Épée de la Providence.


[...]À la source de ce mythe forgé autour des premiers feux de camp se trouvent votre « solarité », c’est-à-dire votre amour de la chaleur, ainsi que le rythme diurne qui instaure l’activité du jour. Pour vous, la nuit est froide, sombre, mauvaise, menaçante, pleine de dangers ; le lever du soleil vous apparaît par conséquent comme une nouvelle victoire dans la lutte pour la survie, il symbolise un nouveau jour, la continuation de l’existence. La lumière solaire apporte la clarté et la chaleur, les rayons vivifiants du soleil sont porteurs de l’anéantissement des monstres ennemis. Un vampire est réduit en cendres, un troll est pétrifié, un loup-garou se délycanthrophie, un gobelin fiche le camp en se voilant les yeux. Les prédateurs nocturnes retournent dans leur bauge et cessent d’être menaçants. Jusqu’au coucher du soleil, le monde vous appartient. Je le répète et j’insiste : ce mythe a vu le jour autour des feux de bois ancestraux.[...]
Le Baptême du Feu, Chapitre ?.


Geralt bondit sur le dos du cheval sans cavalier. C’est alors qu’à la lueur de l’incendie il aperçut Schirrù, appelant à lui les Nilfgaardiens paniqués. Près du demi-elfe, le Rossignol coassait et lançait des imprécations; la gueule en sang, il avait vraiment l’air d’un troll cannibale.
La Tour de l'Hirondelle, Chapitre ?.


— Le trou est grand, monsieur le sorceleur, dit Dussart en reniflant. Grand et profond. Il y a des trolls des montagnes, cinq ou six adultes. Et des chauves-souris. Énormément de crottes de chauves-souris.
— Allons plus loin. Au suivant.
— Des trolls… Les mêmes qu’avant. Les cavernes sont communicantes.

La Saison des Orages, Chapitre ?.


Notes et références[]

Notes[]


Références[]