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Les Kobolds[1] (V.O. Chobołd) sont l'une des races du Continent.

Sous-espèces[]

Sous la plume de Sapkowski[]

Les minutes qui suivirent virent une interminable énumération des monstres qui gâchaient la vie des croquants de la région par leurs actes ignobles ou même par le simple fait de leur existence. Geralt et Jaskier apprirent ainsi qu’il existait des errautours et des fées mamounes qui empêchaient les braves paysans de rentrer chez eux quand ils étaient soûls. On leur parla aussi d’une volage qui volait et buvait le lait des vaches, d’une tête sur des pattes d’araignée qui courait dans la forêt, de vaillages qui portaient des petits bonnets garance et d’un brochet inquiétant qui arrachait le linge des mains des femmes qui lavaient à la rivière et qui, un jour ou l’autre, s’en prendrait aux femmes elles-mêmes. Comme à l’accoutumée, on ne manqua pas de citer dans toute cette énumération la vieille Naradkova, qui la nuit, volait sur un tisonnier, et le jour, expulsait les fœtus. On cita aussi un meunier qui coupait sa farine avec de la poudre de gland, et un certain Duda, qui avait parlé du régisseur du roi en le traitant de voleur et de voyou.
— « Le Bout du monde », dans la collection Le Dernier Vœu.


« Le frappeur, également appelé knocker, gobelin, polterduk, karkonos, rübezahl, trésorier ou désertile, est une espèce de kobold doté néanmoins d’une force phénoménale et d’une stature hors du commun. En outre, contrairement au kobold, le frappeur porte généralement une énorme barbe hirsute.[...]
La Tour de l'Hirondelle, Chapitre 7.


Notes et références[]

Notes[]

  1. ↑ Les kobolds est une créature légendaire du folklore et de la mythologie germanique.
  2. ↑ Dans "Les Guerriers de Dieu" d'Andrzej Sapkowski, Reynevan est prit en embuscade par des kobolds des bois qui sont décrit comme suit : Le petit être n’était pas un enfant. Les enfants ne sont ni poilus ni pourvus d’une tête de chien. Ils n’ont pas de bras qui touchent terre. Ne s’enfuient pas à grand renfort de coassements stridents en claudiquant bizarrement sur de petites pattes tordues.

Références[]

  1. Laurence Dyèvre a traduit "Chobołd" en "Vaillage" dans Le Dernier Vœu.