Sorceleur Wiki

Vereena est une bruxa et l'une des amantes de Nivellen.

Apparence et caractère[]

Vereena ressemblait à une énorme chauve-souris noire avec un gros corps luisant, une étroite petite gueule allongée qui débordait de rangées d’aiguilles blanches et des ailes membranées.[1]

Sous sa forme humaine, Vereena avait des cheveux noirs tressés et des yeux brillants, couleur d’anthracite. Elle avait un minuscule visage sur lequel était peinte une expression de nostalgie indescriptible, pleine de charme, qui faisait que l’on continuait à entendre son chant alors même que ses petites lèvres pâles, serrées, ne laissaient échapper aucun son.[1]

Vereena dans la Saga[]

Dans Un grain de vérité[]

Tout au long du dîner, Geralt ne cesse de demander à son hôte si ils sont seuls et Nivellen esquive à chaque fois la question. A la fin, Nivellen emmène Geralt, ne voulant pas parler de la dernière fille vivant avec lui, Vereena. Il mentionne les rêves qu'il a eus récemment, qui lui suggèrent que son état pourrait se détériorer et qu'il pourrait devenir un jour le monstre qu'il semble être. Cependant, Geralt ne part pas loin et passe la nuit dans la forêt voisine. Le jour suivant, il retourne au manoir, son épée en argent à la main. En effet, il a deviné que Vereena, la dernière compagne de Nivellen, s'avère être une bruxa, responsable des attaques aux alentours du manoir. La bruxa, agressive, l'attaqua. Une bataille s'ensuivit.

Geralt est forcé de rester sur la défensive car la créature est trop rapide pour lui. Les choses vont de plus en plus mal pour le sorceleur mais soudain Nivellen sort de la maison et distrait la vampire, sauvant ainsi la vie de Geralt. Vereena tourna alors son attention sur le monstre et tenta de le tuer. Le sorceleur parvint finalement à tuer la bruxa, sauvant ainsi la vie de Nivellen.

Avant de mourir Vireena dit à Nivellen "Tu es mien. Ou à personne. Je t’aime Je t’aime." La malédiction disparut, montrant ainsi qu'un amour véritable unissait les deux monstres.

Apparitions[]

Sous la plume de Sapkowski[]

Au milieu du bassin, à l’endroit même où se trouvait encore quelques instants auparavant la jeune fille filiforme vêtue de sa robe blanche, sur la croupe du dauphin, une énorme chauve-souris noire aplatissait son gros corps luisant et ouvrait son étroite petite gueule allongée qui débordait de rangées d’aiguilles blanches. Ses ailes membranées se déployèrent, battirent sans un bruit, et la créature fonça sur le sorceleur telle la flèche d’une arbalète.
— « Un grain de vérité », dans la collection Le Dernier Vœu.


Notes et références[]

Notes[]


Références[]